Conseil municipal de Montpellier - Le doublement de l’A9 accapare le débat
Article du Midi Libre - KARIM MAOUDJ - 21/06/2011
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Les Verts comme la droite s’opposent au doublement de la voie (© D.R).
En plaçant le dossier du doublement de l’autoroute A 9 en tout début de séance, hier, lors du conseil municipal, Hélène Mandroux a imposé un débat qui a permis aux différentes sensibilités de repréciser les positions. La Ville a, en effet, soumis aux élus, un vœu, à l’occasion de la concertation engagée par l’État sur le déplacement de l’autoroute A 9, aujourd’hui largement sous-dimensionnée.
La charge la plus sévère est venue du maire en personne. Pour fustiger la politique de son prédécesseur, feu Georges Frêche. "Il est lamentable de voir que Montpellier soit la seule ville de France qui n’ait pas de contournement ferroviaire et routier. Parce que rien n’a été fait en 30 ans", lâcha-t-elle.
C’était juste après l’intervention de Jean-Louis Roumégas, qui, en tant que chef de file des Verts, a critiqué le projet de dédoublement de l’autoroute. "Il s’agit d’un projet disproportionné, contraire aux orientations prises au plan national, notamment au Grenelle de l’environnement", commenta-t-il.
(...)
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Les Verts comme la droite s’opposent au doublement de la voie (© D.R).
En plaçant le dossier du doublement de l’autoroute A 9 en tout début de séance, hier, lors du conseil municipal, Hélène Mandroux a imposé un débat qui a permis aux différentes sensibilités de repréciser les positions. La Ville a, en effet, soumis aux élus, un vœu, à l’occasion de la concertation engagée par l’État sur le déplacement de l’autoroute A 9, aujourd’hui largement sous-dimensionnée.
La charge la plus sévère est venue du maire en personne. Pour fustiger la politique de son prédécesseur, feu Georges Frêche. "Il est lamentable de voir que Montpellier soit la seule ville de France qui n’ait pas de contournement ferroviaire et routier. Parce que rien n’a été fait en 30 ans", lâcha-t-elle.
C’était juste après l’intervention de Jean-Louis Roumégas, qui, en tant que chef de file des Verts, a critiqué le projet de dédoublement de l’autoroute. "Il s’agit d’un projet disproportionné, contraire aux orientations prises au plan national, notamment au Grenelle de l’environnement", commenta-t-il.
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